Connue pour ses paysages de carte postale, sa flore et sa faune exceptionnelles, la Nouvelle-Zélande est un archipel en Océanie qui justifie largement le voyage. Ce territoire est depuis longtemps une destination de vacances prisée, mais aussi un territoire prospère vers où l’on voyage aussi pour affaires. Pour vous rendre sur ce territoire et profiter de ce qu’il offre de meilleur, vous devez remplir quelques formalités administratives. Ainsi depuis le 1er octobre 2019, en plus d’un passeport valide, les citoyens français doivent disposer d’un visa d’entrée ou du NZETA.
La Nouvelle-Zélande propose différents types de visa en fonction du motif et de la durée de votre voyage. Quels sont les différents visas ? Quelles sont les autres formalités administratives ? Vous trouverez les réponses à ces différentes interrogations dans cet article.

Quel visa pour la Nouvelle-Zélande ?

Les Français n’ont pas besoin d’un visa pour la Nouvelle-Zélande pour s’y rendre lorsque leur séjour est prévu pour durer au plus trois mois. Toutefois, en plus de leur passeport, ils doivent disposer d’une autorisation électronique de voyage, ou NZETA (New Zealand Electronic Travel Authority). C’est un document valable deux ans qu’on peut obtenir en ligne sur le site de l’immigration ou via une application mobile.
Pour un séjour de plus trois mois, disposer d’un visa est une condition sine qua non à remplir. Ce pays a d’ailleurs mis en place des visas correspondant aux motifs réguliers des visites. Les différents visas en vigueur dans le pays sont : le visitor visa, le visa d’affaire long terme (long term business visa), le visa étudiant, le visa de travail, le VVT (Visa Vacance-Travail) ou WHV (Working Holiday Visa) et la résidence permanente.
Qu’il s’agisse de NZETA ou de visa, la demande doit être faite avant votre départ. Et pour parfaire votre séjour, vous trouverez des astuces très intéressantes dans les articles du site autourdublog.fr.
Le VVT (Visa Vacance-Travail) ou WHV (Working Holiday Visa)
Ce visa est classé parmi les visas de longue durée. Comme son nom le laisse transparaître, il permet à celui qui le détient de travailler, de partir en vacances ou d’étudier en Nouvelle-Zélande. C’est un document valide pendant une année, mais qui impose toutefois une limite d’âge (18 à 30 ans).

Le visa étudiant

Tout comme celui cité ci-dessus, ce visa permet d’étudier dans les universités néo Zélandaises. Mais contrairement au Visa Vacance-Travail, le visa étudiant est plus libre. Il est accessible à tout le monde sans limite d’âge. Il permet aussi de travailler dans la limite de 20 heures par semaine.

La taxe touristique IVL

La taxe touristique IVL (International Visitor conservation and tourism Levy) est une somme qui est payée au moment des formalités de demande de la NZETA. Il s’agit d’une taxe obligatoire destinée à accompagner les projets de protection de l’environnement et des espèces endémiques du pays. Elle permet aussi de développer les infrastructures touristiques pour offrir un cadre plus sûr et plus accueillant aux visiteurs de la Nouvelle-Zélande. À long terme cette taxe va permettre à cet État d’atteindre son objectif : neutralité carbone d’ici 2050.